À SAVOIR
Articles & textes importants

 

L'actualité de la bio et de la bio-dynamie
Cette rubrique reprend certains articles très intéressants
parus dans la dernière revue Biodynamis

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Nature by Numbers

 
 

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Roundup et autres désherbants : produits cancérigènes

Emission "Capital" sur M6

Les conclusions de l'étude de Robert Bellé – institut Pierre et Marie Curie, Biologiste cellulaire de renommée mondiale, ont été publiées dans la revue « Chemical Research in Toxicology » en 1999. Elles sont sans appel:

Le Roundup et les désherbants dérèglent la reproduction et le fonctionnement cellulaire.

depuis, 8 autres études ont été publiées (Université de Chapel Hill – USA, Université de Caen – F, etc. )
Ces étude n'ont jamais été contredites, elles confirment les aspects nocifs des désherbants:

Cancérigène, risque de fausse couche, dérèglements organiques, malformations, impact sur les facultés reproductrices, etc...

Dernièrement, jugement et condamnation en France contre Monsanto, le fabricant du Roundup, pour une mention publicitaire concernant la prétendue biodégrabilité du désherbant. Verdict : coupable, publicité mensongère.

 Même une ancienne étude de Monsanto démontre que la biodégrabilité du désherbant est seulement de 2% après 30 jours…il en reste donc 98%. Le mensonge n’a aucune limite, incroyable !  

En France, début des années 2000, 49,8% des courts d’eau sont contaminés par le Roundup et les glyphosates. 3000 tonnes de Roundup sont pulvérisées chaque années en France.

Que dire des nappes phréatiques ?

Une personne désherbe ses allées depuis 20 ans avec de l’eau bouillante, même résultat que le roundup…

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L’agriculture moderne contribue à la lente mort des sols
Article "Domaine Public"

 

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 Un nouveau livre sur les cristallisations sensibles

Commande du livre
"Cristallisations sensibles - une autre manière de voir la qualité"
de Christian Marcel

 

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Effet boomerang chez Monsanto
Mise en ligne du 2 juin 2009 par Tela Botanica Association

 
Aux États-Unis, cinq mille hectares de culture de soja transgénique ont du être abandonnés par les agriculteurs et cinquante mille autres sont gravement menacés. Cette panique est due à une « mauvaise » herbe qui a décidé de s’opposer au géant Monsanto, connu pour être le plus grand prédateur de la Terre. (...)
http://www.tela-botanica.org/actu/article3091.html

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La fertilité des sols décline

15 mai 2009

L'article parut à ce jour sur le site de la TSR: L'état des forêts suisses reste alarmant, est une confirmation claire des propos visionnaires de Rudolf Steiner.

Pour rappel:

Les paysans du début du siècle avaient déjà constaté une baisse de la qualité des aliments et une diminution de la fertilité des sols. Face à ce constat, ils ont sollicité R. Steiner pour connaître ses conseils. Sa réponse a été sans équivoque: la création de l'agriculture biodynamique en 1924.

Son avis sur la question était extrêmement clair:

  • La Terre subit une dégénérescence qui va s'accentuer au court du siècle à venir.

  • Cette dégénérescence va s'exprimer par une diminution de la qualité des aliments et une disparition progressive de la fertilité des sols.

  • La cause de ce processus inexorable: le retrait progressif des forces vitales de la nature (un retrait similaire à celui d'un organisme qui meurt). Selon ses dires, ce retrait a débuté dans le courant du XIXe siècle.

  • La seule possibilité d'inverser cette tendance, c'est l'utilisation généralisée des préparations biodynamiques.

Au delà de toute polémique nihiliste, du genre "je crois! - je ne crois pas!", il est nécessaire de savoir.
Pour ce faire, il
suffit de pulvériser de la bouse de corne sur un sol et d'évaluer le résultat:

faites un profil de sol avant la première pulvérisation, ensuite, refaites des profils les années suivantes.

Les résultats sont sans commentaires et au-delà de toutes théories !

Si des personnes sont sceptiques, qu'elles essayent, tout en respectant évidement la rigueur inhérente à l'efficacité de ces substances.

 

La mort intensive

Claude Bourguignon

 

 

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Biophotons et qualité d'un aliment

Extrait:

L'institut de recherche sur les biophotons du biophysicien Fritz-Albert Popp s'est engagé sur une voie scientifique nouvelle pour déterminer la qualité d'un aliment.

On mesure la lumière contenue à l'intérieur des aliments. Les biophysiciens allemands sous la conduite de Popp ont découvert et démontré en 1975 que les cellules vivantes contiennent de la lumière. Un amplificateur de lumière résiduelle permet de visualiser la lumière émise, par exemple, par un chou frisé. Cet appareil est capable de détecter une bougie à une distance de 20 km. Déjà récoltée, la plante a emmagasiné de la lumière et la restitue maintenant progressivement. Pour Fritz-Albert Popp, cette lumière est un signe de l'ordre interne et de la vitalité de l'aliment. Or cette vitalité sera transmise à l'acheteur qui le consommera...

...il y a près de 50 ans le Prix Nobel Erwin Schrödinger a dit que la qualité d'un aliment était d'autant meilleure que cet aliment était capable de transmettre de l'ordre au consommateur. C'est ce qu'il faut mesurer.

...Le champ lumineux est le véritable organisme de contrôle du champ moléculaire. Les molécules sont idiotes, elles font seulement ce que leur dicte ce champ lumineux. La lumière revêt une importance fondamentale pour l'être humain. Elle lui transmet chaleur, énergie et nourriture. Nous l'utilisons pour transmettre des données, c'est pour nous un outil universel. Tout semble indiquer également que la lumière stockée au plus profond de tous les organismes vivants tient une place fondamentale dans la régulation des processus vitaux. Fritz-Albert Popp pense que les biophotons commandent l'action des hormones, des enzymes et de nombreuses autres substances présentes dans la cellule. Ce serait la clé et l'explication de nombreux mécanismes et phénomènes encore mystérieux, comme l'homéopathie ou l'acupuncture.

 

Rush University of Chicago indicates biophotons as signals of intercellular communication - Bioelectrochemistry 71 (2007).

Stuttgart University confirms validity of Food Quality Analysis by means of Biophotons: Tierärztliche Umschau 63, (2008).

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Pourquoi faut-il manger " vivant " ? 

Extrait:

...Nos cellules communiquent entre elles par l’échange de " biophotons ", lumière ultra-ténue porteuse d’informations, porteuse de vie...Dès 1927, le professeur soviétique Alexander Gurwirtsch découvrait que des radicelles d'oignons communiquaient entre elles sous terre grâce à des émissions de rayonnements ultraviolets. Cette communication déterminait une modification de la multiplication cellulaire dans la radicelle de l'oignon voisin. Gurwitsch appelait cette radiation "radiation mitogénétique"...

En 1975, grâce à des techniques de pointe, le biophysicien allemand Fritz Albert Popp (Université de Kaiserslautern), non seulement confirmait les découvertes d'A. Gurwitsch, mais prouvait par la même voie que toutes les cellules vivantes émettent et captent constamment de la lumière...

Les gènes émetteurs de l'ADN sont également des récepteurs, si bien qu'un échange énergétique s'établit entre le corps vivant et le milieu extérieur. Ce dialogue par flux extrêmement ténus entretient les mécanismes de la vie en puisant son "organisation" interne (diminution de l'entropie) dans la lumière solaire ambiante, laquelle est également cohérente sur un espace restreint…

Aujourd'hui, dans bien des laboratoires de la planète des recherches se poursuivent sur les applications des découvertes du Prof. F.A. Popp (2). Par exemple, on a pu démontrer qu'une substance médicamenteuse peut être testée par cette méthode sur des cultures de tissus humains in vitro. Cet essai préliminaire permet de voir immédiatement si cette substance est toxique ou non. L'émission photonique des cellules peut indiquer ce degré de toxicité...

Aliments "vivants" et émissions photoniques:
...Il va de soi, nous indique F.A. Popp, que des légumes ou des fruits stabilisés par irradiations gamma (ionisés) perdent la quasi totalité de leur potentiel nutritif puisque les cellules qui les composent sont tuées par l'irradiation (évasion des photons des structures cellulaires). De même les fruits et légumes stérilisés présentent le même inconvénient majeur. L'organisme, en mangeant des fruits et légumes frais, consomme aussi de la lumière sous forme de photons. "Nous sommes tous des dévoreurs de lumière", nous dit Popp.

Travaux du biophysicien Fritz Albert Popp sur le rayonnement cellulaire.
 

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Molécules de synthèse – Molécules naturelles

Extrait du livre d'Eric Petiot "Les soins aux arbres" - Éditions de Terran

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Agriculture et climat
Contribution de l’agriculture vaudoise à la régulation du climat. 

Extrait:

...Les changements climatiques sont maintenant une évidence...

...Des experts planchent sur des moyens de limiter les émissions de CO2, ou d’en fixer. Dans l’idée des « puits de carbone », un moyen y contribuera : la réintégration du carbone dans les terres agricoles sous forme d’humus et d’organismes utiles, gigantesque réceptacle carboné...

...Le carbone circule sur la Planète. De l’atmosphère, il est capté par les plantes, algues et microorganismes. Sur les continents, les plantes riches en carbone provenant de l’atmosphère se décomposent à leur terme : elles sont consommées par des myriades d’organismes tels que vers de terre et autres invertébrés, bactéries, champignons et algues microscopiques, etc., eux-mêmes riches en carbone fournit surtout par les plantes. L’humus, substance brun-noir de la terre fertile, riche aussi de ce carbone-là, est le résultat de cette décomposition.

...Ainsi, sous nos pieds, humus, microorganismes, invertébrés, racines, contiennent une part importante de carbone : de 100 à 120 tonnes à l’hectare pour une bonne terre.  En Suisse Romande, la moyenne se situe aux environs de 60 t. /hectare. On en a donc perdu 40 à 60 t. /h. pour causes de techniques inadaptées...

Postulat Bernard Martin

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L’agriculture bio-dynamique, le compost, le carbone et l’azote...

Extrait:

Le carbone occupe actuellement le devant de la scène et une certaine vision de l’agriculture tend également à centrer l’activité agricole sur le carbone, le stockage de celui-ci dans les sols devant permettre à la fois de lutter contre l’effet de serre et d’enrichir les sols en « humus », gage d’amélioration de la fertilité ! L’azote est repoussé dans les coulisses et apparaît nettement moins fréquentable : son usage abusif, sous forme de synthèse industrielle, par l’agriculture intensive le voue aux gémonies et le rend coupable de tous les maux en matière de pollution. Il est donc de bon ton dans les courants d’agriculture écologique d’éviter de parler de cet azote incongru. Si cette vision est « écologiquement correcte », elle est loin de refléter la réalité de l’agronomie et de la vie de la plante...

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